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Enfant je trouvais fascinant de me plonger dans le dictionnaire médical de mon père. Le fonctionnement interne de l’être humain me passionnait.

Pas assez bonne en maths pour faire médecine…

Mes études terminées avec un focus sur les langues étrangères je travaille deux ans comme assistante de direction dans une maison de couture, sympa, mais je restais insatisfaite.

Cette insatisfaction s’est transformée en dépression et pendant des mois, je ne faisais que lire des livres de psychologie ou de spiritualité, j’évitais de voir mes amis, et je dormais énormément.

Bizarrement l’idée de demander de l’aide à un professionnel ne m’avait jamais effleurée et personne ne pouvait me le conseiller, étant donné que je cachais soigneusement mon état en trouvant toujours des excuses pour éviter les occasions de rencontres avec mes proches.

Après quelques mois au fond du trou, je commençais à voir la lumière au bout du tunnel.

Je saisis l’opportunité d’un job de coordinatrice de projets dans un groupe de presse international.

C’était très intéressant, je voyageais beaucoup dans d’excellentes conditions et je rencontrais des dirigeants économiques et politiques des pays où j’étais envoyée. J ‘étais autonome dans l’organisation de mon emploi du temps et cela me convenait parfaitement.

C’ est à ce moment que ma direction me propose une promotion avec plus d’argent et plus de responsabilités mais je travaillerais au sein d’une équipe.

Je n’étais pas consciente à ce moment là que mon choix de refuser était davantage basé sur mes peurs que sur mes envies.

Je refusai me sentant protégée par ma solitude. Curieux mais c’était ainsi.

Au cours de l’une de mes missions en Grèce je rencontrai mon futur compagnon.

Un an plus tard, j’allais le rejoindre à Athènes.

Je dois dire que ce départ comportait un petit élément de fuite, là aussi ce n’était pas conscient.

Partir donne l’illusion de croire que l’on laisse ses souffrances derrière soi.

Mais si le décor change,c’est toujours d’abord soi-même que l’on retrouve, ses peurs, ses pensées limitantes, son manque de confiance en soi, ne tardent jamais à refaire surface.

Néanmoins ce changement radical, nouvelle langue, nouvelle façon de vivre, me permit de me recentrer sur ce qui avait vraiment du sens pour moi. J’étais dans le pays de Socrate et sa maxime “Connais-toi, toi-même” résonna très fort.

Je me mis au Yoga, et m’ inscris dans une organisation qui proposaient des actions bénévoles pour tenir compagnie à des personnes agées, à cuisiner et à distribuer des plats chauds à ceux qui en avaient besoin.

Après ces visites, j’étais comme en état d’apesanteur, un sentiment totalement inconnu jusque là, j’étais cueilli, par une espèce de sentiment de plénitude. Je crois bien que c’était mon âme qui se réjouissait….

Je décidais de me former à la Sophrologie et fut certifiée par son fondateur, le Professeur Caycédo.

Je continuai à m'informer sur les nouvelles thérapies surtout celles en provenance des Etats-Unis. L’innovation qu’elle soit technologique ou thérapeutique nous arrive principalement d’outre-Atlantique.

C’est ainsi que je découvris les thérapies de psychologie énergétique, et principalement l’ EFT. Je me formai là aussi directement avec son fondateur Gary Craig, ce qui me permit de bénéficier d’un enseignement authentique, sans altération, comme il y en a eu tant par la suite.

C’est à cette période que ma vie privée bascule avec le diagnostic d’une maladie incurable dégénérative qui s’abat sur quelqu’un de très proche.

Sans l’EFT, je ne crois pas que j’aurais pu faire face. Accompagner quelqu’un que l’on aime vers sa version diminuée, sans qu’il n’existe aucun espoir d’amélioration, est terrible.

Les médecins disent que l’accompagnant est le malade caché, j’en étais consciente, et me suis servi de tous les outils que je connaissais pour rester en bonne santé, morale et physique.

La spiritualité appliquée faisait déjà partie intégrante de ma vie depuis longtemps et ceci incluait entre autres, la pratique quotidienne de la méditation.

Faire du sport est pour moi un mode de vie et là aussi, cela a contribué au maintien de mon équilibre émotionnel et psychologique.

Je me faisais des séances d’EFT pratiquement tous les jours ce qui me permit d’éviter un burn-out, une nouvelle dépression et me permettait de rester en selle.

La sophrologie a été peu à peu remplacée par l’EFT, car les résultats étaient plus rapides , plus complets et plus faciles à obtenir pour les personnes que j’accompagnais.

C’est une thérapie que j’affectionne particulièrement car les résultats sont apparents après chaque séance, et qu’au-delà de la guérison des troubles, elle favorise l’émergence d’une personnalité solide, confiante et heureuse de vivre.

J’ai éprouvé le désir de compléter mes connaissances de thérapies dites alternatives, par une approche scientifique cette fois-ci.

Bien sûr toujours dans le domaine autour du fonctionnement humain, et j’ai complété une formation de neurobiologie, appliquée à la vie quotidienne.

 
 
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